Membre de la KJK, Çiğdem Doğu : il est temps que les travailleurs s’unissent le 1er mai

0
KURDISTAN SUD, BEHDINAN – Membre de la coordination du KJK (Communauté des femmes du Kurdistan), Çiğdem Doğu a parlé à l’ANF des célébrations du 1er mai de cette année.
 
Doğu a commencé en déclarant que « le fascisme de l’AKP-MHP ne sera vaincu qu’avec l’unité de tous les secteurs démocratiques« .
 
« Cette année, nous célébrons le 1er mai pour contrer l’état d’urgence. »

Non à l’exécution du prisonnier politique kurde Ramin Hossein Panahi !

0
PARIS – Demain, dimanche 29 avril, il y aura une manifestation à Paris pour attirer l’attention sur la situation de Ramin Hossein Panahi, prisonnier politique kurde condamné à mort par le régime iranien. La Cour suprême de Qum a confirmé la condamnation à mort du prisonnier politique kurde Ramin Hossein Panahi début avril. Panahi pourrait être exécuté à tout moment.
Venez nous rejoindre pour dire non à l’exécution de Ramin. RDV à 15:00, place de la République

Pervin Buldan : Le peuple kurde enseignera une leçon historique à ceux qui ignorent sa volonté

0
VAN – La co-présidente du Parti Démocratique des Peuples (HDP), Pervin Buldan s’est entretenue avec les habitants d’Erciş et a évoqué les prochaines élections législatives en Turquie en déclarant que « le peuple kurde enseignera une leçon historique à ceux qui ignorent sa volonté et ses valeurs. »
Pervin Buldan, coprésidente du Parti Démocratique des Peuples (HDP), et une délégation se sont réunis avec les habitants de la localité kurde d’Erciş, dans le cadre de leurs activités pour les élections générales du 24 juin. Les membres de la délégation ont quitté Ağrı pour le district d’Erciş du matin. Les membres du HDP ont été accueillis par des centaines de voitures à l’entrée du district. Buldant s’est adressée à la foule réunie après avoir remercié les citoyens pour leur grand intérêt. 

Un témoin parle d' »abattoirs humains » à Deir ez-Zor

0
SYRIE, DEIR EZ-ZOR – Les habitants des villes et des villages sous le contrôle du régime baathiste à Deir ez-Zor vivent dans des conditions de vie difficiles et manquent de ressources. Ils subissent également une série d’arrestations et de raids menés par des éléments du régime, soutenus par ce que le régime appelle des « forces réservistes » composées de mercenaires de différents pays.
 
Le gouvernorat de Deir ez-Zor, devenu une ville fantôme après la campagne militaire féroce lancée par le régime et des milices multinationales – soutenue par une forte couverture aérienne, a fait des centaines de morts dont des enfants, femmes et des personnes âgées ainsi que des milliers de déplacés qui ont eu la chance d’accéder à des zones libérées par les Forces démocratiques syriennes. Certaines déplacés sont morts par des mines des mercenaires. Les autres sont coincés entre le régime et les mercenaires de l’EI.
 
Ceux qui n’ont pas eu la chance de fuir la ville et le chaos du régime et de ses mercenaires ont été liquidés dans une série d’exécutions commises par les milices sectaires du régime, d’autres ont payé des rançons. Cependant, ils risquent  d’être kidnappés ou pillés plus tard.
 
« Abattoirs humains »
 
Des cas de kidnapping et de paiement de rançon ont également été signalés par de nombreuses personnes. Les civils du gouvernorat de Deir ez-Zor sont aussi victimes du phénomène du commerce d’organes humains commis par des voyous et des agents de sécurité, sous prétexte de sécurité et d’enquête. En fait, ils sont menés aux abattoirs d’humains appartenant à certaines figures de l’armée et de la milice des régimes pour être vendus pour le trafic d’organes humains à l’intérieur du pays et à l’étranger.
 
Enrôlement obligatoire 
Il y a des milliers de jeunes hommes qui ont été recrutés par le régime et contraints de combattre les mercenaires de l’EI en première ligne comme appâts, sans aucune formation ou qualification. Fin 2014, lorsque des mercenaires de l’EI ont commis un massacre contre plus de 300 membres du régime dans l’aéroport militaire de Tabqa, un jour après son arrivée à l’aéroport, les jeunes hommes ont été recrutés, soit par des raids internes, soit par des checkpoints militaires déployés dans les zones contrôlées par le régime à Tabqa.
 
Le régime achève la marche de l’EI
 
« Les mercenaires de l’EI ont fait taire les citoyens et nous ont privés de nos droits les plus élémentaires au point que la terre s’est refermée sur nous malgré son immensité. Alors le régime et ses milices sont venus suivre la marche et la politique de Daesh« , raconte l’un des habitants des villages de Deir ez-Zor, qui a été repris par des mercenaires de l’EI.
 
Les bombardements russes ont tué des douzaines de civils
 
La même personne a ajouté : « Un avion russe nous tire des missiles depuis des années et des dizaines d’entre nous ont été tués ou blessés, ainsi que par les exécutions en masse effectuées par les mercenaires de l’EI et du régime. Je n’ai pas pu m’échapper et suis resté dans mon village après avoir versé des sommes énormes au régime. J’ai vu de mes yeux comment les vols et les pillages systématiques des biens des citoyens ont été commis. La zone est pleine de chaos des enlèvements, des assassinats et des arrestations d’un groupe important de jeunes qui ne pouvaient pas s’échapper. »
 
Chômage et manque de services
 
Il a conclu en parlant des conditions de vie qu’il a qualifiées de «en dessous du zéro», se référant à la détérioration de la situation de vie, au manque de services, au manque de ressources et à l’absence totale d’électricité et d’eau potable. « Le prix d’un ampère à 7 000 livres syriennes par mois alors que l’été approche. La plus petite maison a besoin de 2 ampères ou plus pour le fonctionnement d’un réfrigérateur et c’est presque impossible avec le manque de possibilités d’emploi. Le prix du pain a atteint les 500 livres. Les légumes et les fruits sont devenus disponibles uniquement pour les riches et les influents, ma destination optimale était les zones gérées par les Forces démocratiques syriennes parce qu’ils ont la liberté en tout, tout est disponible où les gens vivent dans la dignité, que le régime et l’EI ont volé. »
 
Il est à noter que cette situation est commune dans toutes les régions sous le contrôle des forces du régime. Il y a eu de nombreux cas de meurtres, vols, viols, enlèvements et trafics d’organes humains dans différentes parties d’Alep et dans ses banlieues sud et sud-est et les zones récemment contrôlées par le régime dans la campagne de Damas et les villes de Homs, Hama et Idlib. Cela a coïncidé avec la même politique mise en oeuvre par l’armée d’invasion turque, et ses mercenaires alliés à Afrin, qui glorifient dans ses médias les grandes victoires sur le « terrorisme ».

SHEHBA: La mort rôde autour des réfugiés malades d’Afrin

0
ROJAVA, SHEHBA – Les réfugiés d’Afrin ayant des besoins spécifiques font face à la mort alors que les organisations d’aide restent inactives.
 
Les personnes ayant des besoins spéciaux et des maladies neurologiques, estimées à des centaines – principalement des enfants – courent le risque de perdre la vie en raison de l’échec des organisations humanitaires et médicales à leur fournir des médicaments.

KURDISTAN SUD : Les villageois de Biradost menacés par l’armée turque

0
KURDISTAN SUD, SULEYMANIYA – Le vendredi, les combattants kurdes ont attaqué les positions de l’armée turque au sommet de Lêlîkan, à la frontière du Kurdistan Sud, tuant au moins 14 soldats turcs. Des sources locales ont déclaré que les soldats morts et blessés ne peuvent être retirés de la colline de Lêlîkan.
 
Dans une tentative d’encerclement de la guérilla kurde, les soldats turcs ont commencé à menacer les paysans kurdes pour qu’ils quittent la région.
La Turquie veut vider la région de Biradost 

Crimes de guerre à Afrin : 58 personnes, dont 26 Yézidis, enlevées

0
AFRIN – Les forces d’invasion turques et leurs mercenaires alliées ont enlevé au moins 58 personnes dont 26 Yézidîs depuis le 18 avril. Les personnes enlevées ont été torturées et détenues contre des rançons, et leurs maisons ont été confisquées.
L’État turc et ses bandes alliées continuent de commettre des crimes graves depuis qu’ils ont envahi Afrin et ont récemment enlevé des dizaines de personnes. Le sort des personnes enlevées est inconnu. Pendant ce temps, la torture et le pillage continuent de manière intense. Depuis le 18 avril, au moins 58 personnes ont été enlevées, alors que le nombre réel est supposé être beaucoup plus élevé. La zone envahie vie sous la peur et la terreur, et un flux régulier d’informations n’est pas possible.
 
16 YÊZIDÎS ENLEVÉS A QITME
 
Les rapports indiquent que 16 personnes ont été enlevées et emmenées à la mosquée du village dans le village yézidi de Qitme dans le district de Shera. Les 16 personnes enlevées sont toutes yézidîs et leurs noms sont:
 
Hac Ehmed Hemo (70 ans), Nebîl Mihemed (46 ans) et son épouse Islham Mihemed (60 ans), Hisên Îbo (70 ans), Henan Birîm (65 ans), Azad Birîm (35 ans), Hemîd Qasim (39), Ednan Qasim (45 ans), Nîdal Qasim (43 ans) et son fils Hemdûş Qasim (15 ans), Fewzî Şemo (55 ans) et deux de ses fils, Eymen Hemade (35 ans), Şêxo Hemade (28 ans) et Sadiq Silêman (34 ans). ).
 
ENLÈVEMENTS, TORTURE, RANÇON ET VOLS
 
Les gangs ont torturé les villageois Nebil Mihemed et Ilham Mihemed et leur ont volé 2 500 lires syriennes, ils ont libéré le couple par la suite mais ont confisqué leur maison.
 
Des villageois nommés Umer Umer, Xelil Behri et Mihemed Bedri ont également été enlevés et leur sort est inconnu.
 
Dans le village de Qibare, 5.000 dollars ont été volés aux villageois Fadi Arif, İbrahim Arif, Henan Arif, Abdulrehman Arif, Ali Arif et Semir Arif.
 
LES SERVICES SECRETS TURCS ONT ENLEVÉ UNE FAMILLE
 
Des sources à Afrin avaient exposé le 25 avril que le service de renseignement turc MIT avait enlevé la famille Êzidî d’Ednan Heciko, connue sous le nom de Mendo. Cette attaque a eu lieu dans le village de Qibare et Zekiye Hecîko, Rizgan Hecîko et Alan Hecîko ont été enlevés. Selon les mêmes sources, Ednan Heciko a été enlevé, sévèrement torturé et relâché plus tard. Heciko aurait perdu sa santé mentale à cause de la torture.
 
5 PERSONNES ENLEVÉES A SHERAWA ET BILBILE
 
Une source dans le district de Sherawa d’Afrin a déclaré que le 25 avril, deux frères Ehmed Hesen et Murad Hesen ont été enlevés du village de Kimare et violemment torturés.
 
Au village Girzîlê de Sherawa, les civils Mihemed Elo Umer (45 ans) et Ebdulrehman Welo (50 ans) ont été emmenés dans un lieu inconnu et des mercenaires de Ghouta ont été installées dans leurs maisons.
 
La nouvelle d’un autre enlèvement est venue du district de Bilbile le même jour. Le civil Mihemed Birim du village Qere Gul du district a été enlevé contre rançon.
 
15 PERSONNES INCLUANT 6 YEZIDÎS ENLEVÉES A BILBILÊ
 
Le 22 avril, des envahisseurs ont enlevé 9 personnes dans les villages de Şexorze, Qoşo, Xelilak et Qeregul du district de Bilbilê et 6 personnes yézidîes du village de Qibar. Leur sort rest inconnu. Les noms des Yézidîs enlevés sont : Fadi Arfi, İbrahim Arif, Eli Arif, Abdulrehman Arif, Semir Arif et Henan Arif.
 
AU MOINS 14 PERSONNES ENLEVÉES A MABETA
 
Les forces du régime turc et les gangs alliés ont enlevé un civil dans le village de Mirkan, dans le district de Mabeta. Après l’enlèvement du villageois MH (48), des maisons ont été pillées dans le village et des biens ont été confisqués. Des hommes du même village étaient rassemblés dans l’école et soumis à des insultes et à des tortures.
 
Selon les indications fournies le 18 avril, l’armée d’invasion turque et ses bandes alliées ont enlevé 13 personnes à Afrin en l’espace d’une semaine.
 
Les personnes enlevées dans le village de Gobekê sont : X.Ş. (30), E.Ş. (28), EH (24), EH (22), MH (22), DH (20), SH (20), KB (20), KK (26), MK (29), MK (25), WH (60).
 
TORTURE ET ENLÈVEMENT A QURNE
 
Notre source du district de Bilbile qui souhaite garder l’anonymat pour des raisons de sécurité a déclaré que l’armée turque a torturé et enlevé un civil nommé HH (28) dans le village de Qurne.

Journée mondiale d’action pour Hasankeyf et Sur

0
Aujourd’hui, samedi 28 avril, des groupes et des organisations écologistes promeuvent une Journée mondiale d’action pour attirer l’attention sur la situation du quartier Sur d’Amed, vieux de 7 000, et la ville d’Hasankeyf, vieille de plus de 12 000 ans.
 
L’action se déroulera dans 20 pays différents. Différentes initiatives ont été organisées dans différentes villes du monde, de l’Allemagne à la Russie, de l’Iran à l’Irak et aux États-Unis. De nombreuses villes en Turquie ont également des actions planifiées.
 
Certaines des actions sont les suivantes :
 
A Hasankeyf-Batman: à midi les organisations d’Hasankeyf feront une conférence de presse sur la colline Seyir. A 15h30, dans les locaux de l’Union Petrol-İş, le Festival du Film de Yilmaz Güney présentera le film d’Ali Ergül, sur le combat de la résistance par les habitants de Hasankeyf.
 
À Sur, à la mosquée Ulu à Sur, après la conférence de presse, visite des quartiers d’Alipaşa ve Lalebey, puis des performances musicales et poétiques et projection documentaire.
 
Une conférence de presse aura lieu à Istanbul, en face de l’école secondaire Taksim Galatasaray. Le même communiqué de presse sera lu au centre culturel de Bergame à Izmir.
 
Des actions simultanées sont également prévues à Van, Antalya et Ankara.
 
Les réseaux sociaux seront également actifs ce samedi : des campagnes de tweets seront lancés à partir du compte Twitter de la plateforme.
 
La destruction de Sur
 
A Sur, les gens ont vécu pendant 7 mille ans. À partir de 2007, Sur a été très bien organisé socialement et politiquement avec différentes structures ayant été mises en place pour fournir plus de démocratie et d’émancipation des femmes.
 
Lorsque le pouvoir turc a lancé sa guerre unilatérale contre le peuple kurde en 2015, il a commencé par attaquer Sur et commettre des crimes contre l’humanité.
 
Des milliers de maisons ont été détruites et des milliers de personnes ont été forcées de partir. Rappelant la guerre civile des années 90, ces crimes ont été documentés dans le rapport de février 2017 du Comité des droits de l’homme des Nations unies.
 
En mars dernier, le Tribunal international du peuple a entendu des témoins comment Sur a été bombardé et détruit par l’État turc, comment des personnes ont été brûlées vives et comment des centaines de civils n’ont pas pu être sauvés car la police et les forces de sécurité n’ont pas autorisé les blessés. atteint et aidé.
 
Hasankeyf : 12 mille ans d’histoire sous l’eau
 
Hasankeyf est la ville de 12 000 ans de Batman, qui sera inondée par le barrage d’Ilısu. Au nom du «progrès» comme cela est arrivé à un autre joyau historique, Zeugma, Hasankeyf n’existera bientôt plus.
 
Le site a une histoire unique étroitement liée à la rivière Euphrate, et à beaucoup d’égards, elle atteint même Ephesus, Troy et Cappadocia. En outre, Hasankeyf a rempli 9 des 10 critères de l’UNESCO. Pourtant, l’UNESCO n’a rien dit contre la destruction du site historique important.
 
Le projet du barrage d’Ilisu signifie que 80 000 personnes auront leurs maisons détruites et seront forcées de se réinstaller dans une autre zone, dans des maisons construites par le constructeur public TOKI. 

Les Yézidis font face à un génocide à Afrin

0
AFRIN – Les violations de l’armée d’occupation turque et de ses mercenaires se poursuivent dans le canton d’Afrin, où des mercenaires ont kidnappé 18 civils, dont une femme, parmi les Yézidis du village de Qatam, dans le district de Shara.
 
L’occupation turque et les mercenaires kidnappent délibérément des membres de la communauté yézidie dans le but de l’anéantissement de la communauté yézidie.
 
Selon une source du village de Qatam, à Shara, l’occupation turque et ses mercenaires ont arrêté 15 résidents du village qui sont membres de la communauté yézidie, et les ont emmenés à la mosquée du village.
 
Les Yézidis arrêtés sont Haj Ahmad Hamo, 70 ans, le professeur Nabil Mohammed, 64 ans, sa femme Elham Mohammed, 60 ans, Hussein Ebo, 70 ans, Hanan Prem, 65 ans, Azad Prem, 35 ans, Hameed Kassem, 39 ans, Adnan Qassem, 45 ans Nidal Qassem, 43 ans, et son fils Hamdoush Qassem, 15 ans, Fawzi Shamo, 55 ans, et ses fils, 15, 17, Ayman Hamadeh, 35 ans, Shaikho Hamada, 28 ans, Sadiq Sulaiman, 34 ans et 16 ans de la communauté yézidie.
 
La source a noté que les mercenaires ont kidnappé d’autres citoyens dont les noms sont : Omar Omar, Khalil Bahri et Mohammed Badri
 
La source a souligné que les mercenaires ont libéré Nabil Muhammad et son épouse, Elham Mohammed, après les avoir été torturés et payé 2 500 dollars en rançon. Malgré le paiement, les mercenaires ont volé toute la propriété dans la maison de Nabil.
 
La source a également signalé que les mercenaires volent les biens des civils après leur arrestation et imposent l’enseignement des principes de l’Islam aux Yézidis.
 
Selon une deuxième source du village de Qibar, les mercenaires ont demandé la rançon pour Fadi Aref, Ibrahim Aref, Hanan Aref, Abdul Rahman Aref, Ali Aref et Sameer Aref qui ont été arrêtés plus tôt, de 5 000 dollars pour chacun.
 
Une autre source de l’agence de presse Hawar (ANHA) à l’intérieur d’Afrin a rapporté que les soldats turcs avaient arrêté la famille de Adnan Hajiko, connue sous le nom de « Mando »; du village de Qibar dans le canton d’Afrin. Les membres arrêtés sont : Zakiya Hagiko, Rizkan Hajiko et maintenant Hajiko et emmenés en Turquie.
 
Les soldtas turcs et les mercenaires continuent d’arrêter de jeunes hommes, femmes et personnes âgées dans le canton d’Afrin sous de faux prétextes, afin de chasser les personnes de leurs foyers et d’y installer les familles des mercenaires, dans le plan délibéré de changement démographique mis en place par l’occupation turque.
 
L’armée d’occupation turque et ses mercenaires travaillent également sur la turquification à al-Alaween, dans le canton d’Afrin, afin de truquer les élections turques, qui auront lieu le 24 juin.

Député HDP, Kurkçu : La Syrie doit être rendue aux peuples syriens

0
«L’Europe devrait user de son influence pour susciter les pourparlers de paix en Syrie».
STRASBOURG – Ertuğrul Kürkçü, député du HDP d’Izmir, a déclaré au Conseil de l’Europe que «l’Europe devrait œuvrer à la mise en place des conditions nécessaires à la reconstruction de la paix en Syrie». Il a ajouté que l’intervention de la Turquie a encore compliqué les choses en Syrie, où la guerre civile se poursuit. Rappelant que la Turquie avait effectivement ouvert la porte à la Syrie aux groupes djihadistes, Kürkçü a déclaré qu’aujourd’hui, il semble clair d’où viennent ces gangs DAESH.