IRAN / ROJHILAT – Alors que le régime iranien a intensifié les exécutions des prisonniers, dont de nombreux Kurdes, l’Amnesty Belgique dénonce le recours à la peine de mort comme instrument d’oppression en Iran où plus de 800 personnes ont été exécutées en 8 mois.
Amnesty Belgique rappelle que « Des milliers de personnes risquent une exécution après avoir été condamnées à mort, notamment pour des infractions liées aux stupéfiants ou des charges à la définition trop large ou formulées en termes vagues, à l’issue de procès manifestement iniques, ou sont visées par des enquêtes ou des poursuites pour des infractions passibles de la peine capitale.
Depuis le soulèvement Femme Vie Liberté en 2022, les autorités recourent à la peine de mort comme à un instrument d’oppression, et plus de 800 personnes ont été exécutées depuis le début de l’année. »