Biographie de Lukman Ahmad
« À travers l’expressionnisme et l’imagination, Lukman présente le spectre d’une expérience humaine et invite le spectateur à connaître une autre culture. D’un pinceau, de la musique, de la danse, du rire, de la souffrance, de la compassion et de la passion, incitez le regard du spectateur à vivre l’histoire d’un peuple – un peuple oublié et sans nation, mais un peuple qui a conservé une culture riche et pleine.
Né en Syrie, Lukman reflète l’expérience kurde ainsi que l’expérience humaine. Autodidacte et profondément en contact avec son peuple et avec les cultures environnantes entrelacées, il exprime l’imagination et les expériences avec authenticité, permettant à la couleur et au mouvement de raconter l’histoire, qu’elle soit de douleur ou de bonheur, de contemplation ou de passion. Il combine symbolisme et imagination, couleur et rythme, pour transporter le spectateur dans le monde qu’il a vécu et les émotions dont il a été témoin.
Avec plus de 45 expositions dans divers pays, dont la Syrie, la Turquie, le Kurdistan irakien, la Suisse, le Liban et les États-Unis, il s’efforce d’offrir ce spectre de la vie. (…)
Le travail de Lukman est un art avec un but. À chaque exposition, il garde à l’esprit la valeur de l’art et son rôle dans l’expérience humaine. Son travail reflète cette valeur en tant que chemin vers la compréhension de soi et de son environnement, et en tant que méthode pour montrer l’expérience kurde et éliminer les conflits et la souffrance. But, valeur et vision, à travers le symbolisme, l’expressionnisme et la couleur.
Par son expérience, qui a commencé à changer après le déclenchement de la guerre civile en Syrie, notamment dans la lutte contre le terrorisme dans sa région kurde du nord-est de la Syrie, il tente de mettre en lumière les violations des droits de l’homme pendant les guerres. Parallèlement à ses peintures colorées et à son émotion expressive, la couleur noire offre également la tragédie de la mort et de l’espoir ensemble dans ses peintures actuelles.
Son expérience dépend non seulement de l’aspect esthétique, mais aussi de sa dimension culturelle et de la manière d’utiliser les outils culturels et cognitifs pour faire de l’art une approche positive d’une culture civile basée sur des valeurs humaines de respect et d’acceptation de l’autre en plus de la sophistication esthétique de le travail artistique », peut-on lire sur le site internet de Lukman Ahmad.