« Nous sommes une nation à part. Nous voulons que nos affaires restent entre nos mains », déclara Cheikh Oubeidullah Nehri, chef de tribu kurde, en 1880. Depuis lors, ce peuple, le plus nombreux au Moyen-Orient après les Arabes, les Perses et les Turcs, n’a jamais réussi à obtenir son indépendance. Sévèrement réprimés où qu’ils soient installés, les Kurdes de Syrie vont devoir faire face à une nouvelle intervention militaire de la Turquie, annoncée par Recep Tayyip Erdogan jeudi 26 mai. C’est dans ce pays que la « question kurde » est la plus prégnante. »
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