AccueilKurdistanBakurEn Turquie, les conditions d’exercice du journalisme sont très graves (RSF)

En Turquie, les conditions d’exercice du journalisme sont très graves (RSF)

PARIS – D’après les résultats du Classement mondial de la liberté de la presse 2025 réalisé par RSF, les conditions d’exercice du journalisme sont « difficile » ou « très grave » dans la moitié des pays du monde, dont la Turquie où des journalistes kurdes ou d’opposition font face à des persécutions judiciaires et policières chroniques.

Reporters sans frontières (RSF) a publié les résultats  du « Classement mondial de la liberté de la presse 2025 ». Dans le classement, la Turquie se trouve 159e sur 180 pays. La Turquie, qui était classée 158e en 2024, a reculé d’un point en 2025. Selon le rapport, la Turquie a de nouveau connu un déclin en raison de conditions défavorables au niveau national et est restée dans la catégorie « très grave ».

RSF a classé la Turquie, y compris le Kurdistan du Nord sous l’occupation turque dans la catégorie « Très grave », qui s’applique à 42 pays où la liberté de la presse est soit totalement absente, soit où le journalisme est dangereux.

La Norvège se classe au premier rang du Classement mondial de la liberté de la presse 2025, suivie de l’Estonie, des Pays-Bas, de la Suède et de la Finlande dans le top 5. (Mezopotamya)