PARIS – L’attentat terroriste du 23 décembre visant les militants kurdes à Paris a fait trois morts* et plusieurs blessés au moment où une réunion rassemblant une soixantaine de femmes a été retardée à la dernière minute. Le tueur est arrivé au centre en voiture, de-là, passé à un restaurant kurde pour finir 150 mètres plus loin dans un salon de coiffure kurde où il est finalement neutralisé par les clients et employés du salon… C’est un massacre visant spécifiquement les Kurdes dans une rue où il y a tant d’autres commerces d’autres communautés, comme l’a déclaré Berivan Firat, une responsable du Conseil démocratique kurde de France (CDKF).
*Les victimes sont Evîn Goyî (Emine Kara), l’une des pionnières du Mouvement des femmes kurdes, le chanteur Mir Perwer et l’activiste Abdullah Kızıl.
L’assaillant était-il au courant d’une réunion importante au centre kurde?
Un représentant du centre culturel kurde a déclaré que l’attaque avait rappelé de « mauvais souvenirs » (…) puisqu’au moment de l’attentat une réunion de préparation des actions autour du 9 janvier 2023 (date anniversaire du triple assassinat des militantes kurdes à Paris en 2013) devait avoir lieu, mais a été repoussée de quelques heures à la dernière minute. Des craintes ont donc été soulevées que le suspect ait agi avec l’intention de commettre un deuxième massacre à Paris.
L’assaillant était-il au courant d’une réunion importante au centre kurde?
Un représentant du centre culturel kurde a déclaré que l’attaque avait rappelé de « mauvais souvenirs » (…) puisqu’au moment de l’attentat une réunion de préparation des actions autour du 9 janvier 2023 (date anniversaire du triple assassinat des militantes kurdes à Paris en 2013) devait avoir lieu, mais a été repoussée de quelques heures à la dernière minute. Des craintes ont donc été soulevées que le suspect ait agi avec l’intention de commettre un deuxième massacre à Paris.
Le tueur de la rue d’Enghien en mission contre les militants kurdes?
« Selon les informations recueillies par l’Humanité, l’homme aurait été déposé par une voiture devant le siège du Conseil démocratique kurde de France (CDKF) alors que devait se tenir une réunion d’une soixantaine de femmes kurdes, finalement décalée d’une heure au dernier moment. Un massacre a été évité. Qui aurait renseigné le tueur ? », écrit le journaliste Pierre Barbancey sur le site de l’Humanité suite au massacre survenu à Paris ce vendredi 23 décembre.
A lire l’article de Pierre Barbancey ici: Le tueur de la rue d’Enghien en mission contre les militants kurdes?
Pour quelles raisons, les médias et autres collabos ne donnent-ils pas le nom du tueur ? Bizarre !