Selon l’étude, qui a tenté d’obtenir des données sur la relation entre l’âge et l’éducation entre le mariage et l’emploi, 88,4 % des femmes analphabètes du groupe de recherche sont des « travailleuses [non rémunérées] à domicile », 5 % sont « inaptes à travailler », 4,4 % sont « au chômage », 88,3 % des femmes qui savent lire et écrire mais qui sont sans diplômes sont des « travailleuses [non rémunérées] à domicile », 4,9 % sont « au chômage » et 2,6 % sont « inaptes à travailler ».
Selon les résultats sortis des recherches, une grande partie des femmes qui n’ont pas été inscrites et qui ont pu fréquenter l’école secondaire sont positionnées dans la vie sociale comme « travailleuses [non rémunérées] à domicile » ; 27,1 % des femmes ayant obtenu le baccalauréat sont « au chômage », 24,9 % sont « fonctionnaires », 17,9 % sont « étudiantes » ; 36,4 % des femmes ayant fait des études supérieures sont « fonctionnaires », 21,2 % sont « travailleuses [non rémunérées] à domicile » et 15,2 % sont « étudiantes ».
« Le plus grand problème, c’est la question kurde et le chômage »
A la question « Selon vous, quel est le plus gros problème en Turquie ? », 31,8% des femmes qui ont participé à l’étude ont dit «l’économie / le chômage», 20,4% «le problème kurde», 15,9% «la violence et un environnement conflictuel», 9,8% «l’absence de démocratie», 7,3% «le gouvernement», 5,9% «l’absence d’opposition politique», 4% «le nouveau système politique / le système présidentiel», 2% «la politique étrangère», 1,5% « autre », 0,3% « DAECH / ISIS » et 0,2% « le nationalisme [turc]».
Via l’agence Mezopotamya
Image via TJA Wan